Pour l’instant nous ne comptons pas avec ces financements

FNE – Financement des formations des salariés en activité partielle

L’Etat finance les formations des salariés en activité partielle via la création d’un FNE Formation renforcé. Leur but est d’accompagner les entreprises dans la période actuelle pour qu’elles anticipent leurs problématiques et renforcent l’employabilité de leurs collaborateurs.
L’intégralité de nos formations sont éligibles au FNE Formation renforcé* qu’elles soient en présentiel ou 100% à distance. Découvrez toutes nos formations à distance.

(*) Sous réserve de validation du dossier par votre OPCO, et du respect des autres dispositions légales et règlementaires.

FNE Formation renforcé : un dispositif pour financer la formation des salariés en activité partielle

Pour répondre aux besoins de la période actuelle, le FNE Formation (aide à la formation du Fonds national de l’Emploi) a été renforcé.
Généralement, le FNE-Formation est en priorité mobilisé pour les entreprises qui ont un effectif inférieur à 250 salariés et au bénéfice des actions visant les salariés les plus exposés à la perte de leur emploi et ceux qui ont un faible niveau de qualification par rapport aux demandes du marché de l’emploi.

Actualité – Septembre 2020

Le gouvernement a publié le 3 septembre 2020 “France Relance“, un plan de relance de 100 milliards d’euros de dépenses. Parmi lesquelles 15 milliards d’euros consacrés à l’emploi et la formation. Parmi les mesures annoncées, le maintien du FNE Formation. Un budget de 1 milliard d’euros est prévu pour la période 2020-2021, avec un objectif de 250.000 salariés formés en 2021.

  • Pour le dispositif d’activité partielle (dispositif provisoire Covid-19) : prise en charge par l’Etat de 100 % des coûts pédagogiques.
  • Pour le dispositif d’activité partielle de longue durée (dispositif APLD) : prise en charge à 80%.
  • Le financement FNE à 100 % se fait sans plafond horaire pour les secteurs industriels prioritaires.

NB : L’évolution du dispositif d’activité partielle annoncé pour le 1er octobre, pourrait se voir repousser au 1er novembre. Dans l’optique de laisser le temps aux entreprises de s’imprégner du dispositif alternatif d’Activité Partielle de Longue Durée (APLD). Celui-ci, publié à partir du 1er juillet nécessite la signature d’accords collectifs d’entreprise ou de branches.